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. Co consstruire un établissement universel, SUITE…

C’était le 15 mai à Rennes, nous nous sommes retrouvé pour partager les travaux des différents groupes qui ont réfléchi aux différentes thématiques durant l’année 23/24.

Vous voulez en savoir plus, voici la vidéo de ce temps de restitution… https://youtu.be/SKirPTaE2xo

Des avancées, des idées à partager… ET le travail se poursuit… L’entrée par la question de l’accessibilité  est essentielle dans tous les domaines…

. Collège unique et choc des savoirs !

A lire l’article  de Philippe Watrelot paru dans la revue Esprit de Juin 2024 qui montre que le collège unique n’a jamais existé, faute de moyens et de la difficulté à généraliser une pédagogie différenciée.

Le « choc des savoirs » et les groupes de niveau constituent une attaque contre les principes du collège unique, mais ce dernier n’a jamais existé dans les faits. Il aurait supposé le développement d’une pédagogie adaptée à l’hétérogénéité des élèves, et des moyens associés, qui ont toujours fait défaut.

Pour autant, les pratiques pédagogiques ont évolué  suite aux obligations de personnaliser  les parcours pour certains élèves ( PAP, PPRE et PPS). Elles se sont inscrites dans des logiques médicales et de compensation et non dans une approche globale d’accessibilité pédagogique. Il est urgent de revisiter la différenciation pédagogique et de la faire évoluer vers une approche d’accessibilité pour tous. Les autres pistes à explorer aussi fondamentales concernent l’organisation générale du collège, faut-il maintenir une organisation basée sur la classe d’âge,  et une réflexion collective à conduire sur les savoirs à enseigner, à l’heure de l’IA et de la nécessité de construire une pensée complexe et critique.

 

 

• Co Construire un établissement universel… Suite

C’était le 15 mai 2024, Sur l’ensemble scolaire Ozanam à Cesson Sévigné, en banlieue de Rennes, que se  déroulait la restitution du chantier débuté en avril 2023. Ce fut l’occasion de rendre compte des travaux menés durant cette année autour des 6 thématiques retenues :

– Dynamiser les espaces pour le bien-être de tous

– Faire équipe et repenser le temps en équipe pluridisciplinaire pour favoriser la mise en œuvre de l’accessibilité universelle.

– Communiquer et construire la Co éducation avec les familles.

– Développer la formation d’équipes pluridisciplinaires pour vivre ensemble l’accessibilité universelle.

– Penser une nouvelle organisation d’établissement pour le rendre universel.

– Concevoir des apprentissages accessibles à tous et proposer une évaluation positive.

Chaque groupe a reconstitué son cheminement et rendu compte des expérimentations menées ou à venir. De nombreuses idées concrètes en découlent. Voir dans le dossier de presse les pages 12/13/14.

Quelques idées simples :

Prévoir des entrées différentes dans l’établissement, ne plus utiliser les sonneries de fin de cours, rendre la signalétique homogène ; partager entre 2 ou 3 écoles des locaux afin de permettre à des partenaires d’intervenir dans les murs ; faciliter le processus d’annonce du handicap par un outil institutionnel et simple ;  proposer une formation croisée aux acteurs des établissements scolaires et paramédicaux en s’aidant d’un questionnaire préalable ; se rendre sur place pour apprendre la rencontre et développer une culture en commun ; rendre plus souples les organisations scolaires ; proposer un kit d’animation pédagogique pour développer l’accessibilité pédagogique , développer un argumentaire en direction des chefs d’établissement et des enseignants pour mettre en avant la nécessité des aides pour tous … Bien des pistes à travailler encore, à reprendre en équipe, sur un territoire.

A la rentrée 2024, le collège du Sacré Cœur de St  Jouan les guérets bénéficiera d’un poste d’enseignant dédié à ce projet d’établissement universel et devant faciliter les liens entre les différents professionnels et entre les élèves. En fonction des moyens alloués par l’ARS, l’IME la Passagère, sera implanté, en partie dans les murs du collège … L’établissement entrera dans la phase active d’un établissement universel.

Durant l’année à venir, l’animation des équipes volontaires se poursuivra sous forme de Webinaires, ou  d’ateliers proposés dans les différents “Pays” autour de Rennes, afin que les travaux réalisés cette année soient partagées et discutés, mis en action en fonction des possibilités locales...

 

 “Nous ne pouvons plus attendre. “ C’est le message fort délivré par Sophie Cluzel qui nous a rejoint en viso conférence. Elle rappelait que l’école est le lieu de l’unité des apprentissages et qu’il s’agit maintenant de faire rentrer le médico-social dans les murs des  établissements scolaires. C’est un grand changement en route, mais qui est très lent. (Voir l’article sur le CNH du 16 mai).
Un autre point qu’elle a souligné et qui doit souvent être rappelé : porter sur chaque jeune “la présomption de compétences”. Derrière ce qui apparait, tout un univers de possibles est là, bien  au-delà de ce que nos préjugés et nos représentations nous empêchent de voir. Nous voilà donc encouragés à poursuivre ce chantier : devenir des écoles universelles.

Enfin, Eric Simon a réalisé en temps réel, une fresque rendant compte des idées développées qui retrace bien le chemin réalisé et anticipe ceux à venir.

De belles perspectives pour l’Enseignement Catholique d’Ille-et-Vilaine pour que ce temps de restitution ne soit pas une conclusion mais bien l’amorce d’une dynamique qui essaimera dans tous les établissements scolaires de ce territoire.

CI dessous le lien avec le nouveau dossier de presse :
co construire un établissement universel

Le lien avec la frise graphique :https://www.versunecoleinclusive.fr/wp-content/uploads/2024/05/fresque-etablissement-universel-15mai2024.jpeg

 

. 16 mai 2024. Comité interministériel du Handicap.

Vous trouverez le dossier de presse présentant les différents axes de travail, une évaluation de ce qui a été fait de puis 2023, et ce qui reste à faire.

Voici le lien du dossier de presse : file:///C:/Users/pouto/Downloads/DP-CIH-2024-VDEF_1.pdf

Nous pouvons noter l’adoption généralisée de l’expression ” POUR TOUS” reprise pour tous les domaines de la vie : École pour tous, Université pour tous, Santé pour tous …  Changement important au niveau sémantique qui confirme bien que l’accès aux institutions ordinaires doit nous guider. Ainsi chaque élève sera doté d’un Numéro Individuel Éducation nationale à la rentrée 2024. Les PIAL vont se transformer peu à peu ( et assez lentement  !) en PAS, Pôle d’accompagnement à la scolarité. Cette mesure déjà annoncée en 2023 avait rencontré de nombreuses oppositions. Il s’agit que les premières réponses puissent être apportées au plus près des besoins des élèves . Ce premier niveau de réponses sera assuré par l’éducation nationale ce qui n’exclut pas de saisir la MDPH. Les enseignants référents( 1 par par PAS expérimental !) interviennent en accompagnement de la scolarité en appui aux enseignants . Va-t-on vers une transformation du métier d’enseignant spécialisé ? Ou plutôt une évolution en abandonnant le terme “spécialisé” , ce qui tendrait à montrer le passage attendu vers une logique renforcée de l’accessibilité, et une juste place faite à celle de la compensation.

Le rapport avec le secteur de la santé, les différents professionnels est entrain de se modifier. Plusieurs expérimentations vont se poursuivre: regroupement de SESSAD, présence et intervention de professionnels para médicaux dans les établissements scolaires et création d’IME dans les murs des établissements scolaires.( 10 projets d’ici 2027 … Avancée très lente ). Certains n’ont pas attendu : voir le lancement du projet le 5 avril 2023 “CO Construire un établissement universel” et la deuxième étape le 15 mai 2024

Si le terme accessibilité est présent partout, il n’est pas du tout évoqué en ce qui concerne les pratiques pédagogiques. Or, c’est aussi une des problématiques des enseignants pour permettre que tous les élèves accèdent à des apprentissages ambitieux et tenant compte des possibilités des élèves. Aucun questionnement non plus sur la réalité des écoles, des locaux, des effectifs et des programmes qui ne sont toujours pas en phase avec les savoirs à enseigner pour le 21 eme siècle. La contradiction avec les  réformes éducatives en cours et ce comité  interministériel du Handicap est criante.

Vous trouverez aussi en fin de document les feuilles de route ministère par ministère avec les plans d’action, l’échéancier. En ce qui concerne l’éducation nationale, rendez-vous à la page 41.

• Dans la classe rêvée de Mme Marie France…

Il est bon de lire des articles qui rejoignent notre vision de l’école accessible à tous et qui montre bien la nouvelle orientation à prendre : quitter les logiques médicales, catégorielles ( et c’est un médecin qui le dit !) et individualisées, pour aller vers une prise en compte de toutes les diversités dans les classes, vers une logique d’accessibilité et de participation !

UN court extrait ci-dessous.. et le lien sur l’article https://www.usherbrooke.ca/actualites/nouvelles/societe/details/52576

Au-delà des diagnostics, un changement de paradigme

Pour que tous les enfants s’engagent dans les situations de développement ou d’apprentissage proposées, la professeure Nadeau croit qu’on doit savoir bien identifier leurs besoins et se distancier de la croyance que l’étiquette ou le diagnostic va tout régler.

Traditionnellement, à partir d’un diagnostic, on intervenait de façon particulière, ce qui demande des ajouts à son enseignement. L’éducation inclusive ne demande pas de faire cette individualisation des interventions et des contextes d’apprentissage. La réflexion englobe d’entrée de jeu la diversité des élèves et de leurs défis, même ceux qui ne sont pas encore connus.

Dans mon activité d’univers social, par exemple, comment vais-je m’assurer que les enfants qui ont plus de défis en lecture participent? Selon une approche médicale, on pourrait le réfléchir en termes d’enfants qui présentent un trouble de déficit d’attention avec ou sans hyperactivité ou un trouble du spectre de l’autisme. Mais l’idée, c’est plutôt de se demander quelles sont les capacités et les besoins de mes élèves pour pouvoir davantage s’attarder aux stratégies qui vont soutenir l’intérêt et la curiosité de tous les élèves, indépendamment de leurs besoins particuliers.

• Apprendre à se concentrer au collège

Apprendre à se concentrer au collège :  le programme d’éducation à l’attention ATOLE arrive !

Une fois n’est pas coutume sur notre site : auto-promotion pour le programme co réalisé par Bénédicte Dubois et Jean-Philippe Lachaux.
Actuellement sous presse, il sera disponible mi-juin, mais on peut le commander dès à présent auprès de l’éditeur.

En avant-première, la plaquette des éditions MDI :

 

• Les groupes de niveaux ne sont pas compatibles avec l’école inclusive

La réforme phare présentée sous le mandat de Gabriel Attal  collecte de nombreuses critiques venant d’horizons différents: organiser les enseignements de français et Maths en classe de 6eme et 5eme en groupes de niveaux. Les intentions sont affichées : permettre aux bons élèves d’aller plus vite et mieux accompagner les élèves en difficulté

Notre nouvelle ministre, après de nombreuses consultations semble vouloir modifier le discours en utilisant le terme de groupes de besoins flexibles, en ouvrant la possibilité de dérogations en fonction des contextes et sous la responsabilité des chefs d’établissements et des équipes. Mais peut-elle piloter son ministère ?

Ce retour en force d’idées anciennes sur le plan pédagogique et éducatif est en contradiction avec la visée d’une école inclusive et d’une société inclusive. Certains, donc sans le dire, ou en affirmant de telles contradictions, entretiennent une posture idéologique et politique. Il ne déplait pas à de nombreuses personnes sans doute, de tout faire pour que les bons élèves ne soient pas entravés dans leur progression. Ils préfèrent entretenir un “entre soi” qui ne s’embarrasse pas d’une vision à plus long terme d’une société clivée dont on délaisserait une partie de la population… Ils ne souhaitent pas non plus s’attaquer vraiment aux difficultés réelles que rencontrent l’ école inclusive. D’ailleurs le terme “fourre tout” d’élèves en difficulté  employé dans le discours est significatif.

Cela rappelle d’anciens débats lors de l”industrialisation et de ces bandes de gamins ” assaillant” les villes …. Comment s’en protéger  était la question d’alors ?

Autres idées qui ont germé et se sont développées: les enfants handicapés ont besoin d’une éducation spéciale dans des lieux spéciaux… avec des personnes plus spécialisées. Les associations de parents créatrices de ces projets ont ensuite réalisé la dérive qui en découlait. Couper leurs enfants de l’école, c’était les couper à tout jamais d’une vie sociale et les reléguer dans des lieux “à part”… Comment a-t-on pu penser que mettre ensemble des enfants ayant des troubles du comportement ensemble pouvait leur permettre d’aller mieux ?

Comment peut-on penser aujourd’hui qu’organiser les classes de 6eme/5eme en classes de niveaux pour les enseignements de maths et de français permettraient aux élèves en difficulté de progresser ? Les “à part” spécialisés qui n’existaient plus dans l’école sont entrain de renaitre. Les parents des enfants affectés au groupe des faibles seront ils satisfaits d’une telle mesure ?  et quand celle- ci semble s’assouplir en parlant de flexibilité des groupes, nous savons bien que cela ne jouera que pour quelques élèves, que cela produira des “drames” pour des élèves du groupe des “forts” rétro calés dans le groupe des “moyens”

Au delà des questions, voici quelques pistes de réflexion que nous souhaitons partager :

  • La visée d’une école inclusive ne  peut exister sans la vision d’une société inclusive. Or, voulons-nous une société inclusive ? Si le consensus de surface semble être là, tant de contre exemples du quotidien montrent une volonté de préserver les acquis d’une élite et non de  mettre les compétences de ces élites au service de tous.
  • L’école française se débat entre le rêve  d’une école égalitaire  et d’une école élitiste. En fait l’école égalitaire est un mythe car si nous sommes égaux en dignité et en droits, nous faisons l’expérience de l’altérité qui nous montre combien nous sommes différents sur tous les plans constitutifs de l’être humain. Il s’agit de penser une école équitable qui propose à tous des situations où les progrès sont possibles et valorisant.
  • Ne devons-nous pas avoir le souci de former des personnes qui mettront leurs talents au service du bien commun ? Talents dans le domaine conceptuel, relationnel, artistique, visionnaire …  Et aujourd’hui plus qu’auparavant, ces différents talents ont besoin de former une intelligence collective pour résoudre les situations complexes qui se présentent sous forme de dilemmes et de contradictions au prime abord. Si dès le collège , un “tri’ s’opère, comment ces “bons , excellents élèves” apprendront ils à vivre avec des camarades différents ? C’est bien la logique de compétition qui sera poussée à son extrême, or l’école inclusive est une école de la coopération et non de la compétition.
  • Cela renvoie aux théories de l’apprentissage. Apprendre nécessite de se confronter à d’autres représentations, d’autres formulations, d’autres procédures. L’approche socio- constructiviste a-t-elle été comprise ? Est-elle définitivement abandonnée au profit de d’une seule approche cognitiviste, plus mécaniste, s’appuyant sur le fonctionnement du cerveau et qui pourrait prétendre avoir toutes les réponses pédagogiques efficaces ?
  • La différenciation pédagogique  fait partie des gestes professionnels des enseignants. Certes elle ne résout pas tout non plus mais les pratiques enseignantes ont évolué et se sont adaptées , non sans  difficulté, à l’hétérogénéité des élèves dans les classes. Il nous faut aller plus loin maintenant vers l’accessibilité pédagogique et didactique qui permet de repérer les obstacles en amont, de proposer des chemins variés dans la présentation des informations, des moyens d’expression et d’évaluation, de fournir en tenant compte des obstacles des aides utiles à tous.
  • Ce qui entrave ces pratiques différenciées accessibles, c’est avant tout un effectif trop important… La mesure la plus simple serait alors de  limiter les effectifs des classes à 22 et d’accompagner les enseignants dans les pratiques pédagogiques, d’organiser des temps possibles de mutualisation, de recherche commune. Cela renvoie à la question de l’annualisation du temps de travail des enseignants. pourra-ton en faire l’économie?
  • Nous pouvons aussi organiser des groupes  avec un nombre d’élèves moins important. Ce serait une très bonne chose mais en  réfléchissant autrement à l’organisation de ces groupes en fonction des différentes étapes de l’apprentissage en cours. ( temps de découverte, d’entrainement, d’appropriation… )
  •  Comment organiser nos enseignements  en tenant compte à la fois de l’hétérogénéité des élèves ayant le même age, tout en maintenant des exigences , et en répondant à des besoins différents ? Il faut pour cela situer les besoins des élèves  et caractériser des typologies de besoins… Penser des regroupements différents inter âges, pendant cette période collège,  n’ouvrirait-il pas une issue à ces débats stériles d’un autre temps ?

Plutôt que d’imposer des “doctrines” ( mot très à la mode et très significatif) , nous croyons davantage en la responsabilité des équipes, à leur intelligence collective, à leur expertise du quotidien pour trouver des solutions ajustées à leur contexte.

• Pour l’accessibilité, 3 focales à combiner !

Il semble bien que la question de l’accessibilité pédagogique commence à intéresser de nombreux enseignants ! Tant mieux car il s’agit bien là de sortir des impasses qui reposent seulement sur le versant de la compensation individuelle.

Je vous propose aujourd’hui une infographie interactive qui montre qu’il s’agit de combiner les focales suivantes :

– La focale élève

– la focale activité

– et la focale  Classe

Comme autant de projecteurs à allumer pour mieux mettre en œuvre l’accessibilité des apprentissages pour tous. Chaque focale est accompagnée d’une explication audio et des liens renvoyant à des articles précédents permettent de saisir pleinement la démarche.

• Compensation et accessibilité

Pour comprendre la différence entre ces deux notions et leur articulation nécessaire, la vidéo suivante constitue un bon support. Cependant, il est à noter que la priorité a été donnée massivement à la compensation parce qu’elle répond à la logique de droit à :” J’ai droit pour mon enfant à une  AESH… Mon enfant a droit à des aménagements , en faites-vous assez ? …¨

Vidéo sur Canotech – Inclusion : faut-il privilégier la compensation ou l’accessibilité ?

Il s’agit maintenant d’approfondir la logique d’accessibilité en se situant du coté des obstacles que peuvent rencontrer les élèves. L’accessibilité pédagogique n’est pas seulement une adaptation des supports, elle oblige à prendre la focale des situations d’enseignement / apprentissages et à y discerner les obstacles contenus… Ceci demande un travail précis d’analyse et de remise en cause de nos évidences  sur les savoirs, savoir /faire que les élèves ” devraient posséder”. voir les articles suivants:

Accessibilité et personnalisation : https://www.versunecoleinclusive.fr/%e2%80%a2-accessibilite-et-personnalisation/

Accessibilité, exemples et démarche: https://www.versunecoleinclusive.fr/accessibilite-demarche-et-exemples/

 

• Quelques outils numériques pour l’accessibilité

Une sélection proposée sur le site d’actualités et d’informations des circonscriptions ASH du Pas-de-Calais.
Ces ressources seront bien sûr utiles aussi aux AESH.

Le site ASH 62

A noter, le site propose dans les “ressources numériques”, le cartable de poche ASH62, qui permet de regrouper sur une clef USB une série d’applications pour l’élève sans nécessiter une installation. Mais les versions Windows de ces logiciels datent un peu et n’ont pas été actualisées. A tester donc…