Un document-poster qui présente les concepts significatifs de la circulaire de rentrée 2019 de l’école inclusive.
Repères
• Parlez-nous de votre rentrée…
Une rentrée qui se dit inclusive… Le sera-t-elle effectivement ?
Les effets d’annonce vont bon train et nous ne pouvons pas minimiser l’énergie déployée l’année passée autour de la concertation menée suite aux États Généraux de l’école inclusive. Ainsi la circulaire de rentrée clairement intitulée « Circulaire de rentrée 2019 – École inclusive. » décline les mesures prises dès cette année et les changements qui se profilent.
Rappelons donc les principales nouveautés de cette circulaire :
- Création du service public de l’école inclusive qui deviendra service départemental École inclusive.
- Création des PIAL (Pôles inclusifs d’accompagnement localisés)
- Mise en place d’une plateforme de ressources « Cap École inclusive » pour les enseignants
- Cellule d’accueil, d’écoute et de réponse destinée aux parents
- Formation de 3h minimum sur les positionnements respectifs AESH/ enseignants. Formation de 6h pour « acquérir les connaissances de base afin de prévoir les aménagements pédagogiques les mieux adaptés aux besoins spécifiques de chaque élève »
Que pouvons-nous retenir de ces perspectives ? Qu’en est-il dans la mise en œuvre en ces jours de rentrée ?
Tout d’abord, alors que cette circulaire crée un service d’école inclusive, l’éducation nationale prend-elle vraiment en compte la notion de besoins éducatifs particuliers ? Bien que la phrase d’introduction dans le paragraphe « instituer un service départemental » semble prendre en compte l’acception large de cette notion : « Ce service a pour attributions, sous l’autorité de l’IA-DASEN, l’organisation, la mise en œuvre, le suivi et l’évaluation de la politique de scolarisation des élèves à besoins éducatifs particuliers, dont les élèves en situation de handicap.« , la liste des missions assurées qui suit, ne concerne que les élèves en situation de handicap. Elle continue à « séparer » ce qui relève d’une reconnaissance de handicap par une notification MDPH de ce qui relève de graves difficultés… Maintenant ainsi une logique médicale et catégorielle.
L’accent est bien porté sur l’accompagnement des accompagnants et les postures mutuelles enseignants/AESH. Est-il sérieux de penser que 3 heures de formation suffiront à résoudre les questions du quotidien, quand les travaux des chercheurs, ceux en particulier de Marie Toullec-Théry (voir en particulier dans le numéro 85, avril 19, de La Nouvelle revue, l’article « D’une recherche sur le travail conjoint AESH- Enseignants vers la mise en œuvre d’une ingénierie coopérative : un moyen pour renouveler les pratiques. » montrent la complexité de ce qui se joue dans ces collaborations ? Comment faire avancer l’idée auprès des familles et des enseignants que la perspective d’un AESH collectif est plus favorable au développement de l’autonomie des jeunes et au processus d’apprentissage ? Là aussi, la logique de droit semble demeurer, et il est nécessaire d’expliciter la logique environnementale qui pose la question de l’accessibilité des environnements, y compris sur le plan pédagogique et didactique.
La plate-forme Cap école inclusive est ouverte. la vidéo de présentation met l’accent sur les observations et les adaptations pédagogiques et veut aider les enseignants à adopter une « entrée par les besoins » et non par les troubles. Nous souscrivons pleinement à cette orientation et espérons que les enseignants trouveront là des réponses opérantes pour agir au mieux. Ce sera donc à suivre.
Deux grandes questions demeurent à mon sens :
- Qu’en est-il exactement du nombre d’enfants en situation de handicap qui ne pourront effectuer leur rentrée et ne seront pas scolarisés, ni en école, ni en établissement médico-social… Les chiffres varient… Sans compter les difficultés liées à la mise en œuvre des PIAL et l’affectation des moyens d’AESH aux établissements. Les organisations locales, interprétant différemment les textes réglementaires, ne permettent pas une visibilité sur l’ensemble du territoire…
- La mise en œuvre des collaborations établissements médico-sociaux, établissements scolaires, ne peut seulement se décréter. L’accompagnement des équipes de terrain, l’apprentissage de ce partenariat ne peut s’improviser, car l’histoire de ces deux systèmes, les représentations respectives constituent des freins importants. Sans un travail de connaissance mutuelle, sans élaboration d’un cadre de travail commun, sans un accompagnement de terrain de ces équipes, les risques de fausse route sont importants et produire des contre-effets.
La volonté politique semble bien être au rendez-vous d’une rentrée résolument inclusive. Comment rendre compte des situations locales qui interrogent la mise en œuvre au-delà des discours médiatiques ? Faites-nous part des progrès réalisés ou des difficultés rencontrées.
Pour cela, vous pouvez simplement renseigner le questionnaire joint. Nous en rendrons compte au fur et à mesure. https://forms.gle/jPGzbajJPVU3Ecgj7
• Évaluations nationales
Voici 4 fiches de synthèse relatives aux évaluations nationales de CP, CE1, 6ème et 2nde.
Evaluations CP année scolaire 2019
Evaluations CE1 année scolaire 2019
Evaluations 6eme année scolaire 2019
Evaluations 2de année scolaire 2019
• Loi École de la confiance 2019
Parmi les annonces principales de cette loi sur l’École de la confiance (JO 26/07/2019), on note :
…
• la création d’un service public de l’École inclusive à partir de la rentrée 2019 opère un véritable changement de paradigme plutôt qu’une simple réorganisation de l’accompagnement des élèves à besoins éducatifs particuliers. Elle repose notamment sur une amélioration significative des conditions de recrutement, de formation et de travail des personnels.
Voici une synthèse de la loi sur l’École de la confiance (JO 26/07/2019) avec un petit focus sur l’École inclusive.
• Être accompagnant d’un professionnel en situation de handicap
Voici le témoignage d’une accompagnante de professionnel en situation de handicap au sein d’une école. Oui cela existe, de manière sans doute encore peu répandue mais c’est bien le signe que l’école inclusive avance aussi dans ce domaine, reconnaissant des situations de handicap parmi ses personnels. Cependant, la personne nous livre les difficultés rencontrées qui tiennent au fait de la qualité relationnelle et au manque de cadre référent pour ce type de poste. Ce tâtonnement, que nous avons maintes fois évoqué, conduit les personnes à vivre des situations difficiles qui pourraient avoir des répercussions sur les enfants. Dans le cas décrit, c’est grâce à la bonne volonté de l’accompagnante, à son souci de préserver une entente pour les enfants que l’année a pu se terminer. Mais comment se fait-il, d’ailleurs, elle s’en étonne elle-même, qu’elle n’ait pas été accompagnée et que personne ne puisse être désignée comme référent ? Cela pose bien la question de la structuration du pilotage d’une école qui avance dans ce grand flou parfois, vers des pratiques inclusives. ( Voir à ce sujet l’article: Un établissement inclusif est-ce possible ? Nous y soulignions la nécessité d’une gouvernance claire et responsable.)
Nous espérons que ce témoignage pourra permettre à d’autres enseignantes, d’autres équipes qui se trouveraient dans cette situation de commencer leur année en posant les bases de leur travail partagé, attentes, besoins, possibilités….
Voici donc ce témoignage:
» J’ai occupé le poste d’APSH, accompagnant d’un professionnel en situation de handicap, sur l’année scolaire 2018-19 au sein d’une classe de grande section de maternelle.
Ce poste est intéressant car on est au cœur du quotidien des enfants à l’école, dans la découverte du travail de l’enseignant dans tous les aspects: pédagogique, logistique, tenue de classe. il faut être très attentif aux besoins de l’enseignant. même si on échange au jour le jour sur les attentes et besoins, il est intéressant d’anticiper ou de proposer une aide toujours adaptée.
J’ai cependant connu des difficultés avec la professionnelle. Il n’y avait pas de profil de poste auquel se référer, et un vide sur des référents potentiels à contacter en cas de conflit. Assez rapidement, je me suis sentie dans une situation inconfortable; cela était dû à la façon dont me parlait l’enseignante. J’ai abordé avec elle cette difficulté, elle m’a dit qu’on lui en avait déjà fait part et qu’elle ferait attention à me parler avec respect, notamment devant les enfants.
Globalement le problème n’a pas été résolu et j’ai eu la sensation toute l’année que pour l’enseignante j’étais corvéable à merci et que la limite entre l’aide que je pouvais apporter et ses demandes infinies n’existait pas. Devant l’absence de retour du Rectorat, la Directrice a fait son possible pour maintenir le dialogue entre nous, et pour apaiser les tensions. Elle a tenté d’alerter la hiérarchie.
En définitive, nous avons réussi à maintenir un minimum d’entente et de calme afin de finir l’année scolaire. Cette expérience a été enrichissante malgré tout. Je regrette que l’on ait pas eu plus de suivi pour me conseiller dans mon rôle de soutien tant sur le plan physique que psychologique auprès d’un professionnel en situation de handicap. «
• La scolarisation des élèves hospitalisés
Nous recevons ce témoignage d’une enseignante spécialisée qui nous explique comment le maintien de la scolarité est importante lors des périodes d’hospitalisation joue comme un levier thérapeutique. Le travail de collaboration avec les enseignants de l’établissement de l’élève et ses parents est aussi fondamental. Nous réalisons en lisant ces lignes combien les outils numériques d’aujourd’hui peuvent faciliter le maintien des liens lors des hospitalisations. C’est aussi l’occasion d’interroger les situations des enfants qui ont des maladies qui limitent leur participation, ou qui génèrent une grande fatigabilité chez ces élèves. Comment tenons-nous compte de ces éléments ? Comment interprétons-nous les différentes absences liées à la maladie ? Quels aménagements proposons-nous ? Écoutons donc notre collègue nous parler du travail d’équipe des enseignants auprès des élèves hospitalisés.
« Pour maintenir le lien avec les enseignants de l’élève hospitalisé, nous travaillons en étroite collaboration avec eux par l’intermédiaire du Bureau Numérique ou par mails via les boîtes académiques. Nous prenons le relais le temps de l’hospitalisation avant de leur passer à nouveau le témoin quand l’élève retournera en cours. Nous suivons la progression pédagogique de sa classe et faisons passer les mêmes évaluations, en tenant compte de sa fatigabilité et des traitements parfois lourds.
En hémato-oncologie, après l’accord du médecin, Skype peut être utilisé par les enseignants pour un cours individuel donné à un élève en chambre stérile. Dans ce cas les plus grandes précautions s’imposent : l’élève doit bien sûr accepter cette intrusion de la caméra dans sa maladie et l’enseignant doit être préparé aux stigmates de la maladie comme la perte des cheveux ou le gonflement du visage.
Dans ce service, nous travaillons en collaboration avec le collectif « Mon cartable connecté » (m.moncartableconnecte.fr) pour la mise en place de cours depuis la classe de l’élève où les mêmes précautions doivent être prises.
Le cours à l’hôpital se fait « au chevet » de l’élève et instaure ainsi une relation duelle entre l’élève et son enseignant qui représente le monde extérieur, la normalité et le monde d’avant la maladie. La scolarité lui apporte ainsi un sentiment de normalité face au sentiment d’étrangeté qu’il ressent face à la maladie. Cette » relation facilitante » et cette normalité vont créer des conditions de motivation pour favoriser les apprentissages et son combat contre la maladie. L’objectif de passer les épreuves du brevet ou du bac « comme les autres » l’aide à se projeter dans un avenir rendu incertain par la maladie.
Cette projection à travers la scolarité prend tout son sens grâce à un travail d’équipe qui va permettre une mutualisation des compétences professionnelles entre, d’une part l’équipe pédagogique de l’établissement d’origine de l’élève et l’équipe pédagogique de l’hôpital, d’autre part l’équipe soignante qui nous laisse prendre notre place auprès des élèves hospitalisés, et aussi les parents qui sont des leviers thérapeutiques indispensables à la scolarité à l’hôpital.
Lorsque l’élève quitte l’hôpital mais ne peut pas retourner dans son établissement, un Service d’Assistance Pédagogique A Domicile (SAPAD) est mis en place. Des enseignants volontaires, en priorité ceux de son établissement, se rendent à son domicile pour lui donner des cours et ainsi lui permettre de suivre le même enseignement que les élèves de sa classe. »
Patricia DUCHENE
Enseignante spécialisée lycée
Mise à disposition à l’Hôpital d’Enfants de Brabois
Vice-présidente de l’Aiscobam (Aide Scolaire Bénévole Aux Adolescents malades)
Voir aussi l’article » Les bracelets rouges »
• Diversité des formations et des pratiques innovantes
La nouvelle revue Éducation et société inclusives publie son numéro 85. La thématique abordée est celle de la diversité des formations et des pratiques innovantes.
A trouver en ligne : http://www.inshea.fr/ressource/liste-des-produits-nouvelle-revue-consulter-et-acquerir
Quelques lignes en avant lecture extraites de l’édito d’Hervé Benoît:
• Le médico-social prend un » virage inclusif «
Dans l’interview donné par Mme Christiane Jean-Bart, chef de service de la mission handicap pour le secteur médico-social au sein de la Haute autorité de santé, nous trouvons des éclairages très intéressants sur cette évolution actuelle importante et des interrogations communes avec celles des évolutions menées au sein de l’école inclusive.
Mme Jean-Bart rappelle d’abord le changement de paradigme dans lequel nous sommes depuis les lois de 2002 sur la santé et de 2005 sur l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées. Changement auquel nous nous référons bien souvent et pour lequel nous avons décrit les changements de logique qui sont à l’œuvre.
Les notions suivantes, modèle écologique, accompagnement et projet de vie, établissement service, sont déclinées et décrites dans les évolutions et les changements de pratique qu’elles entrainent. En reprenant ces points, nous ferons le parallèle avec ce qui se passe pour l’école.
Ainsi, elle rappelle l’importance du modèle écologique où l’on part du principe que la personne en situation de handicap est amenée à évoluer dans différents systèmes… L’obligation de scolarisation établie dans la loi de 2005 oblige aussi à une articulation entre différents systèmes pour construire un parcours sans rupture. Cela peut renverser les modèles habituels chronologiques qui, au fur et à mesure que l’enfant grandit, concevaient son évolution en termes d’orientation vers du plus spécialisé .
La notion d’accompagnement du projet personnel est aussi centrale. elle s’appuie sur l’analyse des besoins de la personne et l’écoute de ses désirs… Pour l’école aussi, les actions menées s’appuient sur cette analyse des besoins éducatifs, pédagogiques dans les différentes situations vécues au sein de l’établissement scolaire. Les enseignants référents doivent aider et permettre l’expression du projet de vie que les parents et le jeune envisagent et accompagner les enseignants dans la co construction de celui-ci.
Enfin, la notion d’établissement-service et de coordination avec les différents acteurs est très présente. Ce qui est nouveau, explique Mme Jean-Bart, c’est que les établissements spécialisés ont fonctionné en recrutant des personnes qui avaient le profil correspondant aux compétences de l’établissement. Aujourd’hui, il est demandé que si les compétences, au regard des besoins ne sont pas là, elles soient recherchées avec d’autres, établissements, personnel médical, social … De la même manière, c’est un maillage du territoire, basé sur la complémentarité des établissements scolaires qui doit être visée afin de répondre au mieux aux besoins des élèves. Cette problématique est particulièrement présente dans les ULIS Lycée… afin de donner un choix réel aux élèves dans leur orientation.
Un autre point abordé très intéressant, est celui des personnes qui ont des comportements difficiles et pour lesquels, reconnait-elle, les professionnels sont démunis. Elle explique combien ces problèmes peuvent être liés à des problèmes somatiques non détectés ou à des conséquences de traitements « calmants » dont les effets ne sont pas négligeables. Comment là aussi, ne pas faire le parallèle avec la situation de l’école ? En effet, ce sont ces difficultés de comportements qui mettent à mal l’ambiance d’une classe, voire même interrogent la poursuite de la scolarisation dans un établissement scolaire. Derrière ces manifestations, nous ne voyons pas toujours, combien elles sont liées entre autres, à un sentiment de non réussite dans les apprentissages. Les conditions de scolarisation avec des classes parfois surchargées interrogent le système, l’institution.
Enfin, comme pour l’école, la formation des professionnels est interrogée. N’avons-nous pas le même questionnement: manque d’immersion , articulation théorie, pratique, accompagnement et tutorat par des enseignants experts…
Nous le voyons, ce virage inclusif est une nouvelle étape dans des articulations et coordinations établissements médico-sociaux et établissements scolaires. Nous avons tous à devenir des établissements service, au service du projet de développement intégral des enfants ayant des besoins éducatifs particuliers.
• Apprendre les mathématiques ?
La thèse que nous propose Céline Guilmois porte sur la question de l’efficacité des approches pédagogiques dans l’enseignement des mathématiques. Le milieu étudié est constituée de classes en réseau d’éducation prioritaire d’écoles élémentaires en Martinique. Les notions étudiées, entre autres, sont l’apprentissage de la soustraction en CE1 et la notion d’aire en CM2.
Dans le débat actuel en France suite aux directives données par le ministère, ce travail pourrait aider chacun à comprendre où se situent les clivages. La question de l’efficacité des approches est posée et permet de réinterroger les définitions du constructivisme, socio-constructivisme et enseignement explicite. Sans opposer de façon caricaturale les deux dernières approches, il y a bien une différence entre l’enseignement explicite tel qu’il est conçu dans une culture anglo-saxonne et enseigner plus explicitement tel qu’il est pensé dans une culture française.. Les tableaux p.52 et 55 sont très éclairants.
Les résultats de cette recherche montrent qu’un enseignement explicite des notions abordées, apporterait de meilleures conditions de réussite aux élèves en difficulté.
Voici un des tableaux comparant ces deux approches :

• Circulaire école inclusive au BO
Une fois n’est pas coutume, une circulaire de rentrée ministérielle est consacrée à l’école inclusive.
Cette circulaire se développe sur 7 points, et annonce
« (…) pour mieux accueillir les élèves et leurs parents, mais aussi pour former et aider les professeurs, pour professionnaliser la fonction d’AESH, pour simplifier les procédures et pour structurer mieux encore l’action du service public d’éducation en faveur d’une meilleure réponse à tous. C’est l’un des objectifs majeurs de la loi pour une École de la confiance (…) »
1. Instituer un service départemental École inclusive
Ce service doit garantir un interlocuteur clairement identifié aux familles mais aussi permettre d’identifier des ressources accessibles et disponibles pour tout professionnel.
2. Organiser les pôles inclusifs d’accompagnement localisés (PIAL)
Le Pial est une nouvelle forme d’organisation, dont l’objectif est de coordonner les moyens d’accompagnement humain en fonction des besoins des élèves en situation de handicap, à l’échelle d’une circonscription, d’un EPLE ou d’un territoire déterminé regroupant des écoles et des établissements. (…)
cf. vade-mecum PIAL
3. Mieux accueillir les parents et mieux scolariser les élèves
4. Reconnaître le travail des enseignants, les soutenir et déployer une offre de formation accessible
5. Renforcer l’appartenance des AESH à la communauté éducative
6. Simplifier les démarches pour tous
7. Mieux suivre les parcours inclusifs et évaluer la qualité des actions
Alors ? Cadre exigeant avec des idées novatrices en termes d’accompagnement, formation, ressources, … ou avancées timides réaffirmant ce qui est déjà existant parfois au sein d’équipes d’établissements ?
Circulaire de rentrée 2019 pour une école inclusive (version intégrale remise en page)